Aïcha M’Barek et Hafiz Dahou Compagnie CHATHA
Conception mise en scène et chorégraphie
Aïcha M’Barek et Hafiz Dhaou
Interprètes
Stéphanie Pignon , Johanna Mandonnet , Sakiko Oishi, Fabio Dolce,Bastien Roux, Aristide Desfrère, Hafiz Dhaou (en cours)
Lumières
Xavier Lazarini
Composition et musique live
Haythem Achour Alias OGRA et Mehdi Ahmadi Alias Kali Cula
Régie Sonore
Christophe Zurfluh
Costumes
Aïcha M’Barek
Compagnie CHATHA
Coproduction : Espace des arts, Scène Nationale – Châlon-sur-Saône ; Maison de la Danse – Pôle Européen de création ; VIADANSE CCN Bourgogne-Franche-Comté à Belfort
CHATHA est conventionnée par le ministère de la culture – DRAC Auvergne Rhône-Alpes, par la région Auvergne Rhône-Alpes et la Ville de Lyon. Elle reçoit le soutien de l’Institut français et de l’Institut français / Ville de Lyon pour ses projets à l’étranger.
Création
15 et 16 novembre 24 Espace des arts, Scène Nationale – Châlon-sur-Saône
Accueil studio – 21 au 25 octobre 24
OPENVIA – jeudi 24 octobre 24
Atelier tout public – samedi 19 octobre 24, 14h-17h
BAL clandestin
Il s’agira pour chacun de convoquer (son) ailleurs, d’assumer son langage chorégraphique et de trouver des modalités pour le donner à tout le monde. Nous serons les chorégraphes de ces récits autour du sentiment de clandestinité. Nous trouverons ensemble des modes de traduction pour les partager avec les autres. Avec les danseurs, ce qui nous intéresse c’est de retracer des trajectoires auxquelles ils ne donnent pas accès habituellement, à la pudeur morale derrière la liberté du corps, au recueil d’une parole pour l’intégrer dans un récit plus large. Parce que le danseur est souvent à la marge, son choix de vie est politique, il exprime quelque chose, il assume le risque d’être et de ne plus être. Ainsi la dramaturgie se construit autour des parcours des différentes personnes et de leur rapport au corps et à la danse pour l’amener à le partager sous forme de récit universel.
Engager chacun à “rentrer dans le film de sa vie”, aller chercher une danse à transmettre.
Ce qui va créer l’unité autour de tous ces récits, c’est le public à la fois témoin et acteur de ce mouvement collectif qu’est le BAL clandestin, un mouvement “in fine” joyeux, une promesse festive qui a un prix, celui de sa propre confidence, de la présence assumée de son corps, dans sa danse
Aïcha M’Barek et Hafiz Dahou