Concert-Dansé

Chant, guitare et harmonica

Peter von Poehl

Violoncelle

Zach Miskin

Chorégraphie

Héla Fattoumi/Éric Lamoureux

En collaboration avec les interprètes

Sarath Amarasingam, Matthieu Coulon, Jim Couturier, Bastien Lefèvre, Philippe Rouaire

Création et régie lumière

Xavier Lazarini

Régie son

Thomas Roussel

Scénographie

Stéphane Pauvret en collaboration avec Héla Fattoumi/Éric Lamoureux

Coproduction

Centre Chorégraphique National de Caen/Basse-Normandie (CCNC/BN) et A Gauche de la Lune (AGdL)

Création le 21 novembre 2013, Centre Chorégraphique National de Caen/Basse-Normandie (FR)
Festival Les Boréales

La danse s’invite dans l’univers du pop singer Peter von Poehl

Après la sortie de son troisième album studio Big Issues Printed Small, le chanteur et compositeur pop Peter von Poehl nous présente ses nouvelles chansons, accompagné de sa guitare, du violoncelliste Zach Miskin et… de danseurs. Un concert-dansé unique conçu par l’un des orfèvres de la mélodie et les plus atypiques des chorégraphes français : Héla Fattoumi et Éric Lamoureux.

A l’invitation de Peter von Poehl, Héla Fattoumi et Éric Lamoureux conçoivent, avec la complicité de quelques danseurs, des partitions chorégraphiques qui vont se distiller parcimonieusement et harmonieusement au gré du concert du plus courtisé des suédois.

Dans un espace accidenté, matérialisé par des praticables au lointain, les deux chorégraphes et leurs interprètes imaginent, pour faire écho aux riffs entêtants de la chanson éponyme du dernier album du songwritter, des soli à l’énergie insolite repris en boucle inlassablement. Tandis que sur les pourtours de l’espace central dédié aux deux musiciens, les danses vont se faire plus chorales et minimales. Voire formelles. Les danseurs à l’équilibre, bras et jambes tendus tracent alors des lignes claires et tendues au son de Elisabeth et du hit The Story of the Impossible ; ou distillent des petits sauts altiers qui s’enivrent sur eux-mêmes au rythme de 28 Paradise, chanson reprise pour la bande-originale du film de Valérie Donzelli Main dans la main.
De ces différentes enveloppes corporelles qui entourent Peter von Poehl et Zach Miskin, naît alors un véritable dialogue renouvelé entre musique et danse. Intime et délicat.

Presse & Médias

Libération